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    Ceci est un petit supplément !

    imaginez mon émotion : 

    dans mon précédent article 

    je vous mettais cette photo :

     

    - ça alors... je n'en reviens pas ! -

     

    J'ai beaucoup hésité, et vous savez pourquoi : je "volais" une photo sur le Net !

    Bon, elle n'était pas signée...

    et elle était si belle, si parfaite même !

    Elle montrait juste ce que je voulais souligner :

    l'immensité de la mer, jusqu'à l'horizon : un nombre infini de milliards de tonnes d'eau,

    fruit des amours cosmiques entre l'hydrogène et l'oxygène,

    et cette vague venant s'étaler comme un éventail

    sur une plage immense, faite de sable,

    fruit d'un autre amour : 

    celui de l'oxygène et du silicium

    à tel point que notre planète bleue pourrait être nommée la planète de l'oxygène !

     

    Une autre perfection de cette photo me semblait être cet autre éventail céleste

    formé par des nuages semblant s'écarter tout en venant vers nous,

    nuages faits d'eau eux aussi,   donc  ...  d'hydrogène rouillé, 

    nuages flottant dans un air contenant 20% d'oxygène

    En trouvant cette photo, je fus fasciné !

    Et... j'ai osé la prendre ;

     

    Or voici que l'auteur de cette photo a vu mon blog !!!!

     

    A Ï E !!!

     

    L'étonnant, et la chance, est que le photographe c'est ...... Simone, notre amie !

    Simone a pris cette photo en 2013, plage du Moulleau, au sud d'Arcachon,

    à 5 km de la dune du Pyla, à l'entrée du bassin d'Arcachon.

     

    Simone vient de m'envoyer l'original , le voici :

     

    - ça alors... je n'en reviens pas ! -

     

    Les teintes sont un peu différentes, 

    je ne saurais dire pourquoi.

     

    Avouez que le monde est petit.

     

    Merci Simone.

     

    Mais, ouf ...   j'ai eu chaud !!!

     

     

    ***


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    - Le paradoxe de l'oxygène

     

    L'oxygène est un atome extraordinaire,

    d'une folle activité, se liant à tout ce qu'il peut saisir !

    Il s'unit avec avidité à tous les atomes qu'il rencontre, formant des oxydes.

    Le sol de nos continents est formé d'oxydes (d'aluminium, de silicium, de calcium)

    L'eau est un oxyde : c'est de l'oxyde d'hydrogène

    et le sable est essentiellement un oxyde de silicium.

     

     

    - Instant santé - 3 - Respirez : vous êtes vivant - Le paradoxe de l'oxygène -

                                                                                                                                                                                   image du Net 

     

    Un métal, il le rouille, et à moyen terme le réduit en poudre , donc le détruit.

    Seul l'or lui résiste, dressant devant lui une barrière infranchissable.

    Le bois lui résiste, mais si la température est trop forte...

    il s'enflamme et c'est fini : 

    l'oxygène n'en fait qu'une bouchée,  le réduit en cendres et en gaz carbonique.

     

     

    - Instant santé - 3 - Respirez : vous êtes vivant - Le paradoxe de l'oxygène -

     

     

    Et avec les êtres vivants, comment se comporte-t-il ?

    Et bien il les détruit aussi !

     

    Nous l'avons vu, il existe des bacilles qui, prudents, vivent sans oxygène,

    comme les clostridiums dont fait partie le bacille du tétanos.

    Dans la terre existent de nombreux micro-organismes qui vivent ainsi, sans oxygène,

    et ils sont fort utiles à la vie : ils contribuent par exemple à l'évolution des composts.

    Dans la mer aussi : on en a trouvé à de très grandes profondeurs

    dans les eaux chaudes qui jaillissent des volcans sous-marins.

    Ces êtres élémentaires vivent donc sans oxygène : on dit qu'ils sont "anaérobies".

    Existent peut-être dans le cosmos des êtres évolués qui sont anaérobies.

     

    Ne nous engageons pas sur ce chemin du rêve,

    car, sur notre terre, la vie qui s'épanouit est, essentiellement, aérobie. 

    Ce qui veut dire que presque tous les êtres vivants vivent en utilisant l'oxygène :

    ils l'utilisent pour brûler, non pas du bois, mais par exemple du sucre, 

    pour en tirer de l'énergie, l'énergie qui leur est indispensable,

    indispensable pour leur cerveau, pour leurs muscles, pour tout !

    Mais à jouer ainsi avec l'oxygène, ils brûlent aussi leurs petites plumes :

    ils s'oxydent eux-mêmes, se "rouillent", et donc se détruisent progressivement,

    ce qui s'appelle le vieillissement.

     

     

    C'est vrai pour nous aussi. On ne peut échapper à cela !

     

     

    - Instant santé - 3 - Respirez : vous êtes vivant - Le paradoxe de l'oxygène -

     

     

    Conclusion : 

    si vous ne voulez pas vieillir,

    ne respirez pas.

    Mais dans ce cas, vous ne vivrez pas non plus.

    Dilemme !

     

    Notre choix bien sûr est fait : nous allons respirer et vivre.

    Et puis, rassurons-nous : 

    un moteur bien réglé s'use en fonctionnant, bien sûr, mais modérément.

    Par contre, s'il est mal réglé, la combustion du carburant va être incomplète,

    et il va se produire des dépôts qui vont accélérer le vieillissement du moteur.

     

    C'est la même chose pour nous.

    En respirant (pour vivre) nous acceptons de vieillir.

    Mais pour ne pas vieillir trop vite, il nous faut très bien respirer !

    C'est pourquoi je vous parlais du paradoxe de l'oxygène,

    qui peut se résumer ainsi : 

     

    L'oxygène nous fait vivre, merci à lui.

    Mais il nous conduit aussi vers le terme de notre vie,

     

    de même que la bougie s'éteint quand il ne reste plus de cire.

    Alors voilà :

    si nous ne voulons pas vieillir trop vite, ne pas nous oxyder trop vite,

    il nous faut bien respirer, c'est-à-dire bien nous oxygéner !

     

     

    - Instant santé - 3 - Respirez : vous êtes vivant - Le paradoxe de l'oxygène -

     

     

    Etrange, non ?

     

    Mais au fait, savez-vous bien respirer ?

    Connaissez-vous les bienfaits que vous procurerait une meilleure respiration ?

     

    Dans notre corps, beaucoup d'actions se réalisent hors de notre contrôle.

    Un exemple parmi mille autres : notre coeur bat ... tout seul.

     

    La respiration, c'est différent, elle est automatique (on ne peut pas la bloquer),

    mais on peut la modifier immédiatement, donc la contrôler (dans une certaine mesure),

    et ça c'est extrêmement important, car cela nous offre des possibilités extraordinaires.

     

    Quelles possibilités ?

     

    Celle d'agir puissamment sur la santé de notre corps,

    de la stabiliser, et donc de vieillir plus lentement,

    celle aussi d'agir sur la santé de notre esprit,

    de le contrôler, le réguler, l'apaiser,

    d'être plus fort et plus calme, donc plus heureux.

     

    Connaissez-vous ces possibilités ?

    Comprenez-vous comment et pourquoi nous avons cette étonnante opportunité ? 

     

    Si cela vous intéresse, je vous en dirai un peu plus.

     

      Respirez : vous êtes vivant !

     

     

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    Mai m'inspire !

    M'inspire un poème de 2 vers  

    de 6 pieds chacun, ce qui fait tout de même 12 pieds !

    Bon, certains parmi vous vont trouver ça court,

    mais je dois garder des forces pour jardiner !!!!

     

    Voici donc mon oeuvre : ouvrez vos oreilles ! 

     

    Mai s'en vient au jardin

    Lève toi de bon matin !

     

    Après avoir accompli cette oeuvre poétique.... d'une grande profondeur  !

    je sors avec vous de la maison.

     

    Tiens... les peupliers d'Italie, tels deux académiciens,

    ont revêtu leurs habits verts.

     

     

     jardin

       

     

    Les peupliers blancs procèdent autrement :

    ils  ouvrent doucement leurs fins bourgeons d'argent.

     

     

     jardin

     

     

      

    Dans le petit jardin nord, les alliaires profitent de la rareté de mes intrusions

    pour proliférer et élever vers le ciel leurs légères hampes florales.

    Et moi j'en profite pour faire de délicieuses soupes : 

    alliaire, consoude, céleri sauvage, et un peu de flocons d'avoine : un régal !

     

     

     jardin

     

     

    A l'extrémité Est du muret de la "grande rocaille "

    (terme un peu pompeux, je le reconnais)

    j'ai "fait le ménage" 

    et installé parmi les fleurs quelques plantes alimentaires :

    je les trouve belles, et elles sont utiles devant ma porte même.

    Je vous les cite en commençant à droite, du moins pour celles qui sont devant :

     

     

     

     jardin

     

    Oseille, ciboulette (qui va fleurir),

    arméria maritime, qui n'a pas encore formé ses fleurs, 

    thym, et derrière lui : calament (c'est le "thé d'Aubrac")

     

    J'ai nettoyé aussi la "rocaille des bambous"

    et l'ai ratissée comme un jardin ZEN !

    J'adore ces travaux tout simples.

    J'ai coupé toutes les repousses de bambou et arraché toutes les herbes

    à l'exception de 4 petites pâquerettes

    et d'un pied de laitue sauvage, à droite, à l'angle de la véranda.

    Je vais vous montrer cette laitue de plus près.

     

     

     jardin

     

     

     

    La laitue est assez méprisée :

    elle est devenue une vulgaire salade, très douce, qui peut être délicieuse, 

    mais qui, devenue notre esclave, s'est vue totalement dépouillée de sa majesté,

    de sa puissance presque redoutable, et de sa glorieuse histoire.

    Qui sait, elle reprendra peut-être une place importante dans notre pharmacopée ...

     

     

     

     jardin

     

     

     

    Regardez cette splendeur, cette force,

    l'extraordinaire beauté de ses feuilles, de ses fleurs !

    Si vous cassez une tige, de la blessure sort un lait (d'où le nom de la plante) ,

    ce latex à été longtemps récolté et séché,

    exactement comme on fait avec le latex du pavot.

    Ce latex devenait du " lactucarium" qui était vendu en pharmacie, 

    avant d'être détrôné par " l'opium ", qui lui vient de la dessiccation du latex du pavot.

    Il avait les mêmes vertus que l'opium : sédatif, faisant dormir et calmant les douleurs,

    actions que l'on rassemble sous le qualificatif de "narcotique"

    ce qui permet de comparer les effets de cette plante

    à ceux du pavot somnifère et du cannabis.

     

    Je ne me drogue pas à la laitue sauvage,

    mais j'en mets souvent quelques jeunes pieds dans ma soupe de légumes.

     

     

    Tiens, dans un petit coin de cette rocaille aux bambous,

    j'avais introduit quelques petites joubarbes '" toiles d'araignées ".

    Elles ont réussi leur lente acclimatation et voilà qu'elles éclatent littéralement.

    Je vais les bichonner avec un bon compost de sous-bois finement tamisé !

     

     

     jardin

     

     

    Pour terminer notre première balade du mois de mai,

    je  vais vous montrer ma dernière acquisition :

    une belle souche que j'ai installée au centre de la "grande rocaille".

     

     

     jardin

     

     

     

     

    Pas sans mal, car elle est si lourde

     que j'ai eu bien du mal à la persuader de bien vouloir me suivre jusque là !

     

     

     

     jardin

     

     

     

    Maintenant, elle me fait rêver.

    Et je me suis aperçu que je vais pouvoir l'utiliser comme un cadran solaire.

    Bien utile pour moi qui ne porte plus de montre depuis une quinzaine d'années !

     

     

     

     jardin

     

     

     

    Avant de vous quitter,

    je vais vous proposer une pensée de David Baird,  la voici :

     

    La tragédie de l'homme

    est ce qui meurt en lui

    quand il est encore en vie.

     

     

     

    Je vous souhaite une très bonne journée.

     

     

     

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    - Ce qui nous est donné -

     

     

     - Paroles de santé -2 - Ce qui nous est donné -

     

    Je reprends cette image que j'ai mise à la fin de mon article précédent.

    Par ce dessin je voulais seulement représenter ce que nous offre la nature. Mais en le voyant apparaître sur le blog, il m'a fait penser à autre chose, que je n'ai cependant pas exprimé car cela m'aurait entraîné trop loin.

    Seulement voilà, ce que je n'ai pas exprimé, Dominique (73) l'a dit ! Pour moi comme pour Dominique, à cause de nos histoires en partie comparables sans doute, cette image évoque la communion qui se pratique dans les églises chrétiennes.

    Cette "communion", je l'ai pratiquée avec la plus grande ferveur pendant de nombreuses années, et ce depuis l'enfance. S'il vous plaît, que personne ne se moque ! Comme pour tous les croyants (du moins je le suppose) j'étais à chaque fois bouleversé....                                           car j'allais recevoir le corps de Dieu !

    Et bien, si je me suis délivré de tout lien de subordination par rapport à cette église, je ne récuse en rien ma ferveur d'alors : c'était une pensée sainte, et de grande valeur.

    Je vais m'en expliquer.

    Avant cela, je veux vous dire ceci : il me fut très difficile de quitter l'église catholique. Cela a duré des années et des années, des années de réflexion, des années de recherches. J'ai même entrepris d'apprendre le grec ancien et l'hébreu biblique pour pouvoir lire les livres "sacrés" dans leur langue d'origine : me rapprocher de la source.

    Pour élargir mon horizon et avoir des points de comparaison, j'ai fréquenté un temple protestant d'obédience luthérienne, puis plus tard un temple protestant évangélique dont le pasteur est devenu mon ami, et dans ces deux églises protestantes, j'ai retrouvé la même ferveur  autour de cette acte de la communion (même si la phraséologie qui l'entourait différait un peu) avec un esprit de lien fraternel très fort.

    J'ai aussi à une autre période entrepris une démarche vers le bouddhisme ZEN, au dojo de la rue des cinq diamants, vers la place d'Italie.

    Une fois, avec ma femme, nous avons participé  à un culte du bouddhisme Mahayana (dans un temple près de Paris) et là nous avons pu voir l'importance donnée au don d'aliment, et au fait de manger ensemble, ce qui fait partie du culte, tout simplement.

     

     - Paroles de santé -2 - Ce qui nous est donné -

     image d'internet

     

    Puis je me suis rendu en Israël et j'ai un peu vécu dans des kibboutz, en particulier une fois en Judée  et une fois dans les environs de la Mer Morte, mais surtout une fois dans le désert du Neguew, dans un kibboutz à Mitzpe Ramon, au sud de Beer-Sheva. C'était durant la fête du Yom Kipour. Le maître des lieux a présidé une cérémonie : après les avoir bénis, il nous a offert le pain et le vin, et ça a été pour moi un grand choc !

     

     

     - Paroles de santé -2 - Ce qui nous est donné -

    image d'internet 

     

     

    Et oui, j'essayais encore de croire que seul le christianisme avait eu le génie de lier le culte rendu à dieu au fait de l'alimentation. Et bien non ! Je savais désormais que cela (pour nous chrétiens) venait du monde juif, n'était donc en rien une spécificité chrétienne, et qu'en vérité toutes les religions avaient sans doute fait de même. 

     

    Et bien tout cela, aujourd'hui, entre pour moi en résonance quand je réfléchis au fait de se nourrir et quand je vous fais part de mes réflexions.

    Personne, bien entendu, n'est obligé de "croire en dieu".                                                        C'est une attitude formelle à vrai dire assez peu importante.

    Par contre tout être vivant est bien obligé de croire en la vie. Tout être vivant, s'il est sincère, sent la force du mystérieux courant qui l'a fait naître, et qui le porte tout au long de ses jours. La façon de formuler cette perception peut varier : c'est secondaire. 

     

    Se nourrir est un acte qui nous "relie" en permanence                                                                    à cette force que nous appelons "la Nature".

     

    Notre lien avec la Nature est aussi essentiel que celui du cordon ombilical pour le foetus. Ce lien demeure en permanence entre nous et notre origine. Et ce n'est pas tout : ce lien nous rattache à tous les autres êtres humains, et plus encore : à tous les êtres vivants, animaux et végétaux, et au-delà d'eux encore au monde minéral, au cosmos tout entier.

     

     

     - Paroles de santé -2 - Ce qui nous est donné -

    image d'internet

     

     

    Aussi quand nous réfléchissons à cette phrase d'Hippocrate  ( Que vos aliments soient vos médicaments), nous réalisons que cela va beaucoup plus loin que le simple fait  de nous libérer de notre asservissante dépendance par rapport à l'industrie pharmaceutique !

    Cela va beaucoup plus loin qu'une réflexion sur la santé.

    Cela a à voir avec notre bonheur.

    Si vous voulez, nous reviendrons sur la relation qui existe entre santé et bonheur. 

    Mais dès aujourd'hui je voudrais vous dire ceci.

    Il est bien connu que mieux vaut prendre un repas très simple le coeur léger et joyeux qu'un repas de roi ... avec une âme triste, abattue, ou envieuse, ou  coléreuse.                                     Le premier sera plus profitable.

    Et bien je vais même aller plus loin (quitte à exagérer un peu !) :

    je pense qu'il vaut mieux manger d'un coeur joyeux et reconnaissant un repas assez moyen quant à la qualité des produits, certains étant issus d'une agriculture assez peu respectueuse du crédo écolo-biologique,                                      

     que de consommer un repas théoriquement  sans le moindre pesticide ou OGM, ou tout ce que vous voudrez. mais qui serait pris... sans amour, sans aucune vision spirituelle.

     

    Ce qui implique un certain nombre de choses.

    Par exemple que l'on se mette à table pour accomplir cet acte important du repas

    si possible en un lieu agréable, propre, accueillant, et en étant détendu.

    C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles un repas pris au restaurant est ordinairement plus valorisé qu'un repas pris chez soi.

     Et en pensant à ce que l'on va faire, puis à ce que l'on fait.                                   

    Et évidemment que l'on n'allume pas le poste de télévision à ce moment-là.                        Si on le fait, on va transformer le meilleur des légumes bio en quelque chose de pire que ceux vendus en grande surface. Le pire des pesticides, c'est la télévision qui le balance dans nos assiettes !

     

     

     - Paroles de santé -2 - Ce qui nous est donné -

    image d'internet

     

     

     

    Si nous faisons cela, nous ne prenons pas un repas : nous "mangeons" au sens le plus matérialiste du mot. Notre ventre se remplit comme se remplit d'essence notre voiture quand nous passons à la station service.

     

    Si nous voulons qu'un aliment nous soit bénéfique, nous ne devons pas seulement penser à la qualité des nutriments qu'il contient, aux calories et aux vitamines, mais nous devons le regarder et être conscient que nous allons le faire entrer en nous

    pour en faire notre corps.

    Et nous ne mangeons pas seulement pour que nos corps vivent.

                                                                                                                                                               Nous devons aimer ce que nous mangeons et avoir dans notre coeur de la reconnaissance pour la personne qui nous le donne, ou qui l'a cuisiné,                                                                  pour  le paysan qui l'a cultivé pour nous et pour le commerçant qui nous l'a vendu.

    Et donc de la reconnaissance pour la Nature, qui nous donne la vie,                                      ou pour Dieu si vous voulez ainsi personnaliser la Nature.

    Que ce choix soit libre et ne brise pas notre communauté humaine !

     

     

     - Paroles de santé -2 - Ce qui nous est donné -

    image d'internet

     

     

    Tous ces sentiments positifs tendent à faire de l'aliment que vous prenez un bon aliment.

    Si nous aimons ce que nous mangeons, nous nous relions aux autres                                                   et nous nous relions au monde : nous ne serons plus jamais seuls ! 

    Et nous pourrons dire : merci la vie.

     

    ***

     

     


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    Hier ?

    Demain ?

     

     

    Vous avez vécu de grandes choses, connu de grandes joies,

    mais aussi enduré de grandes douleurs,

    je sais.

     

     

    Que vivrez-vous demain ?

    Nul ne sait.

     

     

    Toute votre vie est là,  tel un sourire, 

    blottie dans cet aujourd'hui 

     comme un petit grain de soleil

    au coeur d'une fleur...

     

     

     

     - mercre 

     

     

    c'est votre trésor intérieur.

     

    Votre vie n'est pas ailleurs.

     

    Merci la vie.

     

     

    ***

     


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