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- Sète 6 - Le tour de l'étang de Thau - Fin -
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Commentaires
Bonjour pinson,
Je recommence à prendre du retard.
Cette jolie plante Ecballium Elaterium a un très beau feuillage. La petite photographie de son fruit fait penser au bouton du Coquelicot. Tu en as ramené chez toi ? La façon dont explose ce fruit me fait penser aux graines d'Acanthe. Elles font la même chose. Dans un clac, elles se propulsent à plusieurs mètres. Ses noms me font sourire; j'aime bien le Cornichon d'Ane.
Qu'importe que la photographie soit floue. On voit que c'est très beau et on voit très bien cette petite touffe au premier rail qui est cette belle plante. Donc, si on peut la voir c'est que sur ta photographie n'est pas si mauvaise que ça.
Joli tableau, j'aime.
Bonne fin de journée et bise à toi pinson.
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Lundi 3 Octobre 2016 à 11:54
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18DanielleVendredi 30 Septembre 2016 à 10:31Bonjour pinson, oui merci pour ces précisions, tout me parait plus clair. J'étais un peu à côté de la signification de cette phrase (quoi.. que...) Que ce soit dans le mouvement scout ou même religieux, ce sont des domaines qui me sont un peu étrangers, la science et la médecine ma passionnent davantage. C'est vrai que l'évolution dans ce secteur est tellement surprenante, inattendue parfois, les découvertes sont inimaginables. Si nos ancêtres avaient pu savoir où nous en sommes, comment auraient-ils pu imaginer un seul instant cette progression et les changement fabuleux intervenus comme nous ne pouvons imaginer ceux à venir ? Je crois en l'homme, son intelligence, son ouverture d'esprit, je crois en la nature mais hors d'un cadre religieux (depuis que ma famille a été décimée j'en suis incapable). Mais tu as raison dans les organismes vivants existent des forces insoupçonnées, des chemins à chercher et à trouver, des perspectives inconnues qu'il est difficile, voire impossible d'envisager... je me perds un peu dans ces mots que je n'arrive pas à exprimer. Merci pour tes précisions et je te souhaite une très belle journée, chez nous le ciel est gris, ça change et j'admire. Danielle
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Vendredi 30 Septembre 2016 à 14:47
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17DanielleJeudi 29 Septembre 2016 à 23:16Pinson je voudrais te poser une question (et oui encore une) car j'aime bien comprendre, tu le sais. J'ai remarqué que tu as changé ton slogan et j'avoue que j'ai un peu de mal à comprendre cette très courte affirmation, j'aimerais bien savoir ce qu'elle veut exprimer car elle me semble un peu mystérieuse et ça me rappelle ces inscriptions (est-ce qu'on peut dire ces devises ?) parfois écrites sur un drapeau ou sur des armoiries, une phrase de ralliement si tu veux, je sais que ça a un nom... Bon ça ne fait rien, on se comprend je suppose. Alors veux-tu dire qu'il faut chercher toujours plus au fond de nous, comment dire : aller puiser l'effort nécessaire ou le meilleur que nous puissions donner, en somme ne pas rester passif mais aller de l'avant ? C'est comme ça que je ressens ces quelques mots mais j'aimerais savoir ce que tu veux vraiment exprimer car tes mots ne sont jamais vides, jamais vains ni insignifiants ! Tu as éveillé ma curiosité pinson, je n'avais jamais entendu cette expression. Oh mais c'est tard et il serait peut-être temps que j'aille au lit, ce serait plus raisonnable. Je te souhaite une bonne nuit pleine de rêves. Danielle
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Vendredi 30 Septembre 2016 à 09:46
- Réponse à Danielle --
Tu as vraiment l'oeil attentif , Danielle, si tu as repéré le changement de mon "slogan" ! Oui, ça pourrait s'appeler une devise, et je la choisirais volontiers pour moi-même. Je ne connais pas son origine, mais ce pourrait être dans le mouvement scout.
Sa signification ? Ceci : on s'imagine souvent que l'on connait maintenant tout ce que l'on peut savoir (en science, en médecine) or c'est complètement faux : dans 100 ans nous saurons des choses que nous ne considérons pas comme possible aujourd'hui, que nous ne pouvons même pas imaginer. Cela dans l'ordre du savoir.
Mais cela vaut aussi dans l'ordre du pouvoir. Un exemple seulement dans le domaine médical. Il arrive que devant un malade, la "science" actuelle nous pousse à déclarer (ou au moins à penser) que son cas est sans espoir, et que cette personne va décéder dans les jours qui viennent, au plus 15 jours peut-être. Et c'est en effet vrai la plupart du temps. Mais... parfois l'évolution vient contredire ce qui était pour nous une certitude, et survient alors ce que l'on appelle parfois un miracle, ce qui veut dire une guérison qui ne semble pas obéir à ce que nous croyons savoir. Cela intervient souvent dans un cadre religieux (qui reconnait la possibilité d'intervention de forces que nous ne comprenons pas) mais aussi dans un contexte non religieux. Et même, pourrions nous ajouter, cela peut s'observer dans les soins vétérinaires ...
Qu'est-ce que cela veut dire ? Que dans les organismes vivants existent des forces, des leviers, des chemins ... que nous ne comprenons pas , mais que nous pouvons chercher à trouver. Plus est en nous : nous pouvons plus que nous ne l'imaginons. Cela justifie l'espoir, et l'effort, et l'ouverture de l'esprit.
Cela te parait-il plus clair ?
Bonne journée Danielle.
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16L.N.Mercredi 28 Septembre 2016 à 23:18Je ne doute pas un instant que les croisières ne t'intéressent pas. Moi non plus d'ailleurs, mes goûts sont modestes également, je voulais simplement montrer que ces gros bateaux étaient des pollueurs pour nos rivages qu'il faut protéger de leur passage. Les coquillages, j'aime bien, j'en ai fait souvent des colliers quand j'étais gamine.
Bonne nuit sous le ciel gâtinais.....Laprochaine fois mon com sera plus court.....
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Jeudi 29 Septembre 2016 à 08:59
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15DanielleMercredi 28 Septembre 2016 à 17:28Oublié la Corniche ! Enfin pinson !!! C'est là que tu as fait connaissance avec les criques admirables, le mistral violent et le sable fin ! Mais c'est la seule balade qui se soit terminée sur une fausse note un peu douloureuse, toutes les autres ont été agréables non ? D'ailleurs c'était plus que des poussières dans l'oeil, j'étais dans le même état que toi... "subtile cohabitation", tu me fais rire pinson !!! Bon allez, on va oublier aussi la fois où on s'est fait un peu dévorer par les moustiques dans les salines mais ça c'était à l'automne il me semble ? On pourrait dire que c'était l'été indien, l'été qui n'en finit plus comme par exemple aujourd'hui où il fait 27°, pareil pour demain parait-il on ne s'en sortira donc jamais de cette chaleur ? Et les moustiques sont toujours là tu sais, offensifs, agressifs... aussi redoutables que le sable Bonne fin d'après-midi pinson, je crois que tu dois avoir du beau temps également. Danielle
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Mercredi 28 Septembre 2016 à 19:49
- Réponse à Danielle --
C'est vrai, la chaleur est revenue cet après midi, mais ici ce fut une chaleur très agréable, très confortable, presque une sorte de perfection, si bien que j'ai passé un certain temps à simplement me promener, en pensant il est vrai à ce que j'allais faire demain !
Les moustiques des Salines ? Ils ne m'ont pas paru bien méchants, mais là c'est sans doute une question de peau. Par contre les Salines... ah oui, elles forment une zone immense absolument merveilleuse, mais nous en parlerons... bientôt !
Bonne soirée Danielle (à l'abri des moustiques).
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14L.N.Mercredi 28 Septembre 2016 à 16:15Entre la mer et certains êtres il y a comme une osmose...Cela vient sans doute qu'on la suppose berceau de l
'humanité où sont nés ces mystérieuses cellules qui de mutations en mutationst sont devenus des humains?Chaque côte a son charme, plate où découpée en crique, on l'aime selon son tempérament. Le côté ostréicole me plait beaucoup...gourmandise sans doute? mais les longues plages silencieuses, aussi bien celles de la Méditerranée, que celles de l'Atlantique ou du grand nord, comme dans le Zuiderzee... Là on s'évade, pas de limite, comme dans ces monstrueux paquebots de croisières destinés à parcourir la mer, mais qui ne sont que des cages à divertissements variés La mer, lon se baigne dans la piscine du 2e pont si ce n'est du 4e..Pas question de plonger dans la vraie mer comme je le faisais de ma modeste périssoire.
De plus ces hôtels marins sont source de pollution avec les nombreux déchets qu'ils génèrent....Je les trouve laids, heureusement que la foule s'y précipite, les prix sont attractifs.
Bon, on est bien loin de l'étang de Thau et de ses tab les à huitres et piquets à moules qu'il fait bon déguster sur le tas....prés des cabanes de la pointe courte.
J'aurais bien aimé expérimenté les fameuses baies explosives, rigolo!!
Félicitationspour le tableau très représentatif de ton coup de pinceau particulier.
Bonne journée à la campagne......
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Mercredi 28 Septembre 2016 à 19:34
- Réponse à L N --
Oh bin dis donc... on t'arrête plus ce soir. Comme tu dis, on est bien loin de l'étang de Thau...... puisque tu nous emmènes jusque dans les grands bateaux de croisière... Oh mais tu sais, j'ai des goûts nettement plus modestes. Le tape à l'oeil me parait la chose la plus sotte du monde. Un seul petit coquillage, un seul fragment de nacre, voilà qui m'intéresse mille fois plus.
Bonne soirée.
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13SimoneMercredi 28 Septembre 2016 à 14:56Ah ! Tu n' es pas tombé dans l' étang de Thau comme je le craignais, ou attablé quelque part en train de dévaliser Bouzigues, tant tu nous as fait attendre ce tour de l' étang, nous alléchant sadiquement avec une page blanche....Mais bon, ça valait le coup d' attendre et j' ai apprécié cette balade que tu nous as offerte.
merci Mr K. Bonne journée
Bises
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Mercredi 28 Septembre 2016 à 19:24
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12DanielleMercredi 28 Septembre 2016 à 10:25Bonjour pinson, tu décris bien la côte languedocienne et son charme indéfinissable mais tu as raison elle est loin d'être sans attrait car elle a aussi ses criques, ses falaises superbement découpées abritant des petites plages magnifiques (là je parle de Sète bien entendu qui a la chance d'avoir 3 kilomètres de criques, du port à la Corniche) puis cette immense plage où palpite et respire la mer dont tu aimes tant le parfum et les vagues ! Je crois que l'odeur du sel, des algues et de l'iode donne ce parfum si particulier qui nous envahit et nous pénètre. Et ces jolis petits villages les pieds dans l'eau dont les habitants sont traditionnellement et très majoritairement des conchyliculteurs, des pêcheurs de l'étang. Et cette plante surprenante (!) que je n'avais jamais eu la curiosité de toucher, elle adore la chaleur de chez nous, la sécheresse, je crois que tu m'avais raconté que c'est ton ami amoureux des jardins qui te l'avait faite découvrir (de la même façon dont je l'ai découverte brusquement... ah ça, on ne l'oublie pas, ses fruits sont étonnants, une explosion (!!!) de plaisir ! Quant à ce tableau qui finit ton article, il m'émeut énormément tu t'en doutes. Merci pinson et bonne journée dans ton cadre si différent, le ciel est encore très bleu aujourd'hui, il fait chaud, je crois que l'automne a du prendre un chemin détourné. Danielle
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Mercredi 28 Septembre 2016 à 11:47
- Réponse à Danielle --
BonjourDanielle. Ah oui, j'avais complètement oublié la Corniche !!!!
Et tu sais pourquoi . La dernière visite que je lui ai faite s'est terminée
par une cécité d'abord totale et douloureuse, puis à 99% , pendant un temps qui m'a semblé durer des heures. Le souvenir ne m'en revient pas toutes les 5 minutes, heureusement, mais je crois que chaque fois que je reçois des poussières dans l'oeil, ça réveille l'angoisse que j'ai alors ressentie. En fait c'est une façon concrète de percevoir la force éventuellement redoutable du mistral quand par exemple il souffle sur du sable fin et sec. Toutes les forces de la nature sont admirables, mais il faut les connaître pour ne pas en être victime. Subtile cohabitation !!!!
Cette conscience de se trouver tout près d'une force démesurée fait d'ailleurs partie de notre émotion quand nous marchons sur une plage : cette mer si belle, si calme, si bleue, est en fait un réservoir de puissance qui n'est pas à notre mesure : nous ne sommes face à elle pas plus lourd qu'un infime grain de sable. Quel mystère...
Bon mercredi.
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ça va mieux avec les photos.
voir https://www.cactuspro.com/encyclo/Grenier--Ernest
dominique
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Mercredi 28 Septembre 2016 à 09:50
- Réponse à LMPT 73 --
Merci Dominique pour ce lien vers Ernest Grenier. Je ne pense jamais à lui sans une certaine souffrance de sa disparition. Il était à la fois d'une incroyable modestie, et d'une science du vivant qui me paraissait sans limite. Sans la moindre trace de fortune, il n'avait pas de voiture, mais seulement une mobylette. Alors l'été, dès que j'étais en Auvergne, à une douzaine de km du Breuil, je le rejoignais et nous partions faire des virées botaniques, toujours étonnantes pour moi. Quel mystère douloureux que la disparition des êtres qui ont été pour nous si importants.
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Quelle belle promenade
Merci, Bisous Pinson
- Réponse à lenez o vent --
j'aime refaire ces promenades, même si ce n'est qu'en pensée
en fait c'est très important
et là, nous la refaisons ensemble, et c'est bien.
Merci, A, de ta présence.