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- Conte des deux îles - 3 me partie et fin -
- Conte des deux îles -
- 3 me partie et fin -
Or depuis la visite de l'aveugle à la grande île et la découverte de l'or, les habitants de la petite île avaient retrouvé la paix et la joie de vivre car plus personne ne venait chercher de la terre chez eux : les grands, tout à la recherche de l'or, avaient bien mieux à faire que d'aller récolter et transporter de la terre !
Un jour les enfants étaient venus voir le vieil aveugle, il leur avait raconté l'histoire des trois îles, et comment, il y a bien longtemps, la troisième avait été engloutie par la mer. Peu de ses habitants avaient survécu. C'étaient eux qui avaient inscrit l'avertissement sur la pierre.
Pendant que le vieil homme parlait, une petite fille regardait la mer.
Soudain, effrayée, elle cria :
"Là bas ! Ils reviennent, les bateaux des grands ! "
Tous les habitants de la petite île descendirent au rivage. Les bateaux des grands accostèrent, un commandant en descendit et leur dit :
" Au nom du roi, tous les hommes doivent me suivre,
ceux qui refuseront seront traités en esclaves,
ceux qui accepteront de travailler seront bien payés."
Ayant dit cela le commandant tira son épée.
Les petits étaient désespérés.
Mais l'aveugle leur dit :
"J'irai avec vous, et comme salaire, vous demanderez que l'on vous rende la terre que l'on vous a volée, et qui n'intéresse plus les grands."
Tous les petits ont accepté. Chaque matin ils partaient dans la grande île creuser des puits et des galeries, porter des paniers, tirer des chariots, activer la roue du treuil.
Le soir, épuisés, ils chargeaient leurs bateaux de terre et rentraient chez eux. Les femmes venaient au rivage et aidaient les hommes à décharger la terre, puis la remettaient en place, et tout de suite y semaient des graines. Plus personne n'avait le temps de rire.
Vint la saison des pluies. De sombres nuages entourèrent la montagne. L'eau emplit les puits. la boue emplit les fossés.
Et à la fin le mer se déchaîna.
Regardant par la fenêtre, le roi vit ses sujets cherchant à se mettre à l'abri de la pluie. Il entra dans une rage folle. Et en plus les tire-au-flanc de la petite île étaient restés chez eux ! Avaient-ils peur de la tempête ? Le roi ordonna à ses ministres d'aller remettre tout le monde au travail. Mais ils revinrent trempés, sales et furieux : on leur avait pris leurs parapluies de soie, ont les avait hués, injuriés, on leur avait jeté de la boue, et les gens leur avaient crié :
"Que le roi aille le chercher lui-même, son or ! ".
Car la tempête avait ouvert les yeux des habitants de la grande île. Ils voyaient leurs terres ravagées,les lézardes dans les murs de leurs maisons qui commençaient à bouger.
Jusqu'au moment où, saisis de terreur, ils coururent vers le rivage pour se mettre à l'abri sur leurs bateaux.
Ils s'étaient sauvés à temps.
Un roulement se fit entendre ... puis devint un grondement ... puis un mugissement ... et la montagne ... lacérée de galeries .... s'écroula dans un immense fracas.
Les fugitifs, pressés sur leurs bateaux, partirent sur une mer démontée. En se retournant ils virent leur île, cette grande île qui était si belle, si riche, si florissante, leur patrie chérie, ensevelie sous les décombres : la montagne, le palais, les maisons... tout s'était écroulé !
Qu'allaient-ils devenir ?
La petite île était leur seul espoir.
Mais allait-on là-bas les accepter ?
On raconte que les habitants de la petite île n'ont pas cherché à se venger. Bien au contraire, ils ont aidé les rescapés à aborder et les ont emmenés dans leurs maisons.
Après la saison des pluies ils sont retournés tous ensemble sur la grande île, ont déblayé les éboulis, reconstruit des maisons.
Comme il y avait une énorme quantité de rochers, de pierre et de terre,
provenant de l'effondrement de la montagne, ils ont déversé les rochers et les pierres dans la mer en formant deux digues en direction de la petite île jusqu'à la rejoindre.
Mais dans l'une des digues, ils laissèrent un passage, une " passe ", pour que les bateaux puissent y entrer.
Ainsi les deux îles ont furent réunies en une seule par un merveilleux lagon où l'eau devint chaude et pleine de poissons.
Comme il y avait maintenant beaucoup de terre disponible, ils mirent de la terre sur les digues et plantèrent des cocotiers. Les champs furent reconstitués sur la grande île, et aussi les jardins, et on creusa des canaux d'irrigation. Le roi n'était plus là pour contraindre les gens au travail, et pourtant les gens travaillaient, les grands comme les petits, et ils se reposaient quand ils étaient fatigués.
Quand au vieil aveugle, il continua à raconter des histoires.
Mais celle-ci est finie.
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Commentaires
Un très beau conte qui donne espoir et un TRES beau fond d'écran... Est-ce une de tes peintures? J'aime beaucoup
TRES bonne journée
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Mercredi 27 Mai 2020 à 08:26
Réponse à - Jackie - - --
On peut dire que c'est une de mes peintures... accidentelle. Mais déjà ancienne, car actuellement je ne dispose d'aucun moyen pour en faire de nouvelles.
Un très bon mercredi pour toi aussi Jackie.
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Une très belle image du fond de ton écran! Je vois des coquelicots et les champs de blé dans le vent. Egalement une abeille...
Bonne nuit et un bisou du soir, Kasimir¨
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Mercredi 27 Mai 2020 à 06:32
Réponse à - Monika - - --
Ah ce fond d'écran a donc réveillé en toi l'artiste-poète que tu es !
Bisou du matin et bon mercredi Monika.
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23SimoneMardi 26 Mai 2020 à 20:33Ohh , je viens de lire ce joli conte qui finit bien !! les petits ne sont pas rancuniers car ils étaient plutôt du genre hippies!!donc!! Quant aux grands, ils ont fait la part des choses en comprenant qu'ils ne sont rien contre les éléments de la nature et qu'il vaut mieux s'assagir!! Bravo à eux tous!!! Bisous Fan
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Lundi 25 Mai 2020 à 18:40
Réponse à - ISIS - - --
Alors oui, bravo à eux tous, et souhaitons leur une belle poursuite de cette vie enfin plus sage et plus fraternelle.
Quand on pense à ce qu'on pourrait faire ENSEMBLE, tous les peuples, si on ne dépensait pas ces sommes monstrueuses pour fabriquer des bombes et des fusées, si on cessait de tout brûler et détruire en de si nombreux lieux du monde... on croit rêver.
Et bien rêvons, et essayons d'agir, même à notre petite échelle.
Bisous pour vous Isis.
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21CybèleDimanche 24 Mai 2020 à 21:20Bonsoir Pinson,
En lisant la fin de ce conte j'ai tout de suite pensé à la chanson de Raymond Lévesque (auteur- compositeur - interprète québécois) "Quand les hommes vivront d'amour" magnifiquement interprété par
Félix Leclerc / Gilles Vigneault et Robert Charlebois
Aujourd'hui la relève est là avec cette très belle chanson emplie d'espoir, du groupe HK et les Saltimbanks
"Rallumeurs d'étoiles" (lien ci dessous)
https://www.youtube.com/watch?v=FOBptbOgZhM
Je suis une éternelle optimiste réaliste n'en déplaise à mon enfant intérieur
Belle soirée !!!
Cybèle
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Lundi 25 Mai 2020 à 18:31
Réponse à - Cybèle - - --
Bonsoir Cybèle
Ah j'ai bien aimé cette chanson (qu'ainsi je découvrais)
Ce conte est presque trop "gentil", je veux dire que finalement ça se passe tellement bien qu'on est presque gêné de voir comment ces "petits" supportent tant de choses, et avec un si bon résultat... et qu'on a envie de se dire que c'est irréaliste.
Et pourtant il n'y a pas 36 solutions. Il faudra bien qu'on se décide à instaurer la paix et la fraternité si on ne veut pas continuer à s'entretuer. Gandhi, Mandela, Martin Luther King, l'ont compris.
Alors si les chanteurs s'y mettent aussi, et bien il y a de l'espoir !
Tu as donc raison : ce sont les optimistes qui sont les réalistes dont nous avons besoin. Alors ne nous lassons pas de marcher dans ce sens.
Bonne soirée et bonne semaine Cybèle
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20lenez o ventDimanche 24 Mai 2020 à 20:17UNE BELLE FIN
Merci pour cet agréable conte si joliment illustré !!!!
l'entraide les a réuni, c'est bien, hélas loin d'être toujours d'actualité.
Douce nuit Pinson, bisous
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Dimanche 24 Mai 2020 à 20:27
Réponse à - le nez o vent - - --
Et oui Armel, nous savons bien que ça se passe rarement ainsi,
mais cependant ça fait du bien d'imaginer ne serait-ce qu'un moment que ça puisse se terminer ainsi.
Bonne nuit de repos Armel, et bisou de pinson.
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... merci pour ce conte, avec cette jolie fin, mais surtout merci à ce aimable conteur, qui prends son temps pour nous le raconter.
Belle soirée à toi, pinson des pinson...
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Dimanche 24 Mai 2020 à 20:12
Réponse à - Monika - - --
Ce fut un plaisir pour moi, Monika !
Belle fin pour ton dimanche
et belle semaine aussi, au pays du chocolat.
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Bonsoir pinson,
Comme je suis en retard, j'ai lu tes trois parties et je vais essayer de les résumer.
Dans la première partie, deux îles et des habitants tout à fait différents. Sur la grande île le roi qui veut encore plus de terre pour agrandir sa grande île quitte à détruite la petite île, envoie ces habitants prendre leur terre et la ramener petit à petit. Les gens de la petite île, se laissent faire, ne disent rien et continuent de vivre tranquillement profitant de la vie. Mais un jour le vieil aveugle décide d'aller voir le Roi car leur île se détruit.
Dans la seconde partie, en voulant déplacer le rocher, ils découvrent de l'or et je suppose que cet or va faire naître le malheur. Le Roi devient avide d'or, se voit riche, disposer de tout, d'un palais construit le plus haut possible pour qu'on le voit. Il ne pense qu'à lui et ses habitants lui obéissent. Ils sont tellement aveuglés par cet or qu'ils ne se sont pas aperçu de la disparation du rocher. Cette soif d'or va certainement tout détruire et faire naître des conflits. Les gens de la petite île voudront-ils travailler, je vais lire la suite pour savoir.
Dans la dernière partie et bien je me suis trompée. Je pensais que les gens de la petite île se seraient rebellés et seraient devenus des esclaves. Mais ils ont bien réagit, ils ont si je peux dire choisit la sagesse. Ils ont aidé la grande île dont le roi a reconnu ses erreurs et ensemble ils ont construit quelque chose de beaucoup plus beau. Ils vivent dans une belle entente, la vie est paisible; une belle harmonie. Pas de dispute, pas de guerre.
Comme ce conte est beau. Malheureusement sur notre petit caillou ça ne se passe pas comme ça. L'avidité de la richesse, de la fortune, du pouvoir ne fera jamais que nous ne pourrons vivre en harmonie tous ensemble. Et c'est bien triste je trouve car si nous étions tous à la même enseigne tout serait si merveilleux. Mais la folie, la soif, l'avidité n'arrêteront jamais les grands qui sont prêts à tout anéantir, que ce soit la nature et les petites gens pour être encore plus riches.
Ils sont tellement avides, aveuglés qu'ils ne savent même pas qu'il n'y a pas besoin d'or, d'argent pour être riche, que la richesse, ce n'est pas que cela.
J'ai beaucoup aimé ton conte comme chaque fois d'ailleurs.
Je te souhaite une bonne fin de journée pinson et prends soin de toi. Bise.
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Dimanche 24 Mai 2020 à 20:05
Réponse à - Mari jo 21 - - --
Je suis ravi que tu aies aimé ce conte.
Que pour toi aussi ta soirée soit bonne et détendue, dans la paix du soir. Bises de pinson.
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17DanielleDimanche 24 Mai 2020 à 16:29Bonjour pinson, une belle fin pour ce conte ! La prise de conscience des terres ravagées et des dommages causés permettent enfin aux habitants de la grande île de se ressaisir alors que leur terre est ensevelie. Ils se réfugient dans la petite île où ils sont accueillis et hébergés. Les circonstances les ont enfin rapprochés, unis face au danger. Et tout le monde participe à la reconstruction... les êtres humains devraient apprendre à s'unir et s'entraider, se soutenir pour progresser ensemble surtout pendant les périodes difficiles. C'est en se serrant les coudes que l'on avance lorsque le chaos menace ! La réalité est bien différente. Nous sommes très loin de cette aide spontanée que l'on devrait s'apporter mutuellement pour surmonter les difficultés. Tiens, ma chère voisine a profité du confinement pour venir déposer un message dans ma boite aux lettres me demandant de couper ma glycine car "à l'automne des feuilles jonchent son jardin" et en y joignant un texte de loi surligné de jaune fluo. Tu sais que depuis des semaines je passe mon temps à essayer de nettoyer mon jardin, j'ai coupé de mon mieux la jolie glycine et les rosiers qu'elle ne supporte pas. Tu as pu voir le résultat ! Alors quand on voit ce genre de comportement on se dit que l'harmonie entre les humains... n'est pas pour demain !!! Bonne fin de dimanche pinson, bisous pour toi. Danielle
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Dimanche 24 Mai 2020 à 17:22
Réponse à - Danielle - - --
Bonjour mouette !
Ne pas aimer les fleurs de la glycine ni même celles des roses, on peut dire que son cas est sérieux. Or je pensais : tu pourrais peut-être lui offrir un bouquet de roses, mais il n'est pas sûr qu'elle l'accepterait.
Alors en effet faire fonctionner notre monde comme dans ce conte n'est pas entreprise aisée.
Il faudrait pourtant trouver un moyen...
Bonne semaine tout de même Danielle.
Bisous de pinson.
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16gazouDimanche 24 Mai 2020 à 11:49Un beau conte et on voudrait qu'il soit réalité.
Que tous les êtres humains apprennent à vivre en toute fraternité.
Je suis heureuse que ta santé s'améliore et ta vue aussi...Qu'as-tu fait pour cela?
Bon dimanche !
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Dimanche 24 Mai 2020 à 17:12
Réponse à - gazou - - --
Comme Papydom (LMPT73) tu remarques que ça se passe rarement ainsi. Mais qu'après le Covid, tout va changer... ça serait bien !
Ma vue ? Il fallait guérir une conjonctivite rebelle et sans doute aussi améliorer l'état général.
Bonne semaine gazou.
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tout est bien qui finit bien.
mais dans la vraie vie ce n'est pas encore comme cela, même si, parait-il, elle ne sera plus la même après la Covid
ta vue va-t-elle mieux, car je m'aperçois que j'écris petit...
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Dimanche 24 Mai 2020 à 11:10
Réponse à - LMPT73 - - --
Hélas oui, notre réalité est un peu différente .....
Comment se fait-il que nous ne parvenions pas encore à franchir ce seuil de la fraternité humaine qui ferait de notre monde presque un paradis ?
Pourtant la lutte contre les fléaux naturels devrait être suffisante pour nous occuper, il me semble.
Oui ma vue va beaucoup mieux, pas complètement, mais je n'ai plus de problème pour lire par exemple ce que tu écris.
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Bonjour, je suis en retard, vous allez bien ? c'est une histoire à lire aux enfants, mais aux grands, les adultes...en premier, il me semble - c'est toujours actuel ces histoires, de pouvoir, de richesses, mais les grands gagnent souvent dans nôtre monde actuel, ne trouvez-vous pas ? dommage ici, je ne sais pas ajouter une image, je n'y arrive pas, si oui, je vous mettrais, mes dessins, parfois - puisque je fais des aquarelles - à vous lire - à vous suivre - Cathy
Seconde réponse à - Cathy - - --
il est vrai que je sais pas mettre une photo sur les commentaires
LMPT73 m'avait expliqué une fois, mais c'était un peu compliqué pour moi !
mes aquarelles sont déjà sur mon dossier images de l'ordinateur
ce que je ne sais pas maîtriser
c'est ce qui est demandé ici
un lien ou un url
je ne sais pas trouver çà sur mes photos de mes aquarelles
si quelqu'un sait mettre une pièce jointe une photo ici
qu'il m'explique
merci
Réponse à - Cathy - - --
Bonjour Cathy. C'est vrai, les "grands" semblent gagner bien trop souvent ! Il faut une foi chevillée dans le coeur pour penser que ce sont les doux qui finalement gagneront. Car si le monde doit être sauvé, il ne pourra l'être que par l'amour.
Des aquarelles ? Des dessins ?
Mais si vous les scannez, vous entrez dans votre ordi une image que vous pouvez alors utiliser comme bon vous semble. Enfin ... presque.
à bientôt.