• - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? Suivons encore Dominique -

     

     

     

     

    Bon, c'est pas le tout de se reposer,

    mais les blogueurs qui vont chez pinson s'impatientent

    (ils se demandent bien où sont les Népalais)

    alors si l'on veut arriver au premier village avant la nuit,

     (et il nous faut encore faire 15 km) faut repartir fissa fissa ...

    Courage !

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

     

     

     

     

    Nous allons encore cheminer dans ces gorges

    puis nous remonterons sur une sorte de plateau ...

     

     

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

     

     

     

    qui vous fera sûrement penser à l'Aubrac !

    Sauf que les pierres sont bien plus blanches

     et que certaines sont décorées.

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

     

     

     

     

     

    Ah, voici les biquettes qui rentrent au village.

    Nous n'avons plus qu'à les suivre.

     

     

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

     

     

     

     

    et voici les premières cultures dans la vallée où nous allons descendre.

    Avez-vous remarqué le long mur qui les limitent ?

     

     

     

     

        

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

      

     

     

     L'eau, ici, est précieuse.

    Souvent , dérivée dans la montagne, 

    elle est amenée vers les cultures par de petits canaux.

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? Suivons encore Dominique - 

     

     

     

    Les parcelles roses sont plantées de sarrasin en fleurs.

    Plantation en terrasses en cet endroit.

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

      

     

     

     

    Toutes les zones utilisables sont  très bien entretenues,

    sans perdre de place.

    Un beau patchwork, vous ne trouvez-pas ?

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

      

     

     

     

    Et voici les premiers paysans, en plein travail dans leurs cultures. 

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? Suivons encore Dominique -

     

     

     

    Les parcelles sont ici séparées par des murets.

    Nous ne sommes plus loin du village maintenant.

     

     

     

     

    - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? - 

     

     

     

     

    Voici le village.

    Ah, il y a eu un petit éboulement.

    Ne vous inquiétez pas, c'est assez fréquent.

     

     

     

     - Népal 4 - Mais où sont donc les habitants ? -

     

     

     

     

    Petit éboulement... petit éboulement...

     

    Heureusement que je ne passais pas à ce moment là

    avec ma Pistache, me suis-je dis !

     

    Juré promis, demain, vous allez voir de plus près 

    quelques authentiques Népalais !

     

     

     

     

    ***

     

    lien pour suivre l'actualité au Népal sur le blog de Dominique 

     (ce lien nouveau va peut-être mieux marcher !)

     

     

    ***

      

     

     

     

     

     


  • Commentaires

    26
    mari jo
    Vendredi 22 Mai 2015 à 13:14
    25
    @LMPT73 :  Je suis navrée et m'excuse pour mes propos. Parfois, il faut mieux ne rien dire. Merci Dominique de m'avoir remise en place ou du moins de m'avoir informée.
    25
    Mercredi 13 Mai 2015 à 10:50

    @ Mari JO : certains français voulaient rester mais ils n'ont pas eu le droit.

    Dominique

    24
    Mercredi 13 Mai 2015 à 10:44

    - Réponse au commentaire  N°  -  23 -  de    -    Mari JO   -  

    Attention  Mari JO ... tu prends du retard sur le peloton et on risque de te perdre !

    Il est vrai que les photos de Papydom nous font réellement voyager avec lui !

    C'est même tout l'intérêt de ces reportages : nous faire connaître des lieux où nous n'irons jamais physiquement :

    le monde est trop vaste : comment pourrions-nous aller partout ?

    Bises pour toi de pinson.

    23
    Mari jo
    Mardi 12 Mai 2015 à 17:13

    Bonsoir gai pinson siphonné,

    Le chemin est long pour arriver au village. En te suivant, on a l’impression que tu as fait partie du voyage tant tu racontes bien.

    Et je me souviens avoir vu les trois enfants et les Roses Trémières chez papidom en photographie. Je me souviens aussi, avoir vu sur Arté un reportage en 2014. Ce n’est pas loin. Et ces parcelles protégées par des murs m’avaient beaucoup marquées. Déjà par leur perfection car ils font tout avec leurs mains seulement et c’est tellement beau. Si je me souviens bien, ces murs protègent des animaux et du vent. Car, lorsque le journaliste qui a fait le reportage, nous a montré ces parcelles et ses murs, ça m’a étonnée car je ne pensais pas qu’ils servaient pour la protection du vent. Ça m’a tellement interpellée que c’est pour cela que je m’en souviens.

    Je reste en admiration devant ces gens pour le savoir, leur sourire ; tous s’entraident. Comme tu l’as montré avec cette photographie du paysan qui va ranger son foin et lors de ce reportage, il est vrai que l’on se demande comment ils font pour se diriger tant les charges sont hautes et aussi mine de rien pèsent.

    Chez papidom, il y a aussi tout un coin parlant du séisme au Népal. Les images, reportages font pleurer. Je dois avouer que j’ai honte de ces français qui ont vite été rapatriés en France, alors qu’ils auraient pu rester pour aider. Ils étaient contents de profiter du pays et là, ils s’enfuient.

    Bonne fin de journée et bise à toi gai pinson siphonné.

    22
    Lundi 11 Mai 2015 à 10:57

    - Réponse au commentaire  N°  -  21 -  de    -    Flipperine   -  

    Des images qui resteront à jamais dans la pensée du photographe

    et qu'il nous permet de partager

    21
    Dimanche 10 Mai 2015 à 23:28

    de beaux paysages

    20
    Samedi 9 Mai 2015 à 19:03

    - Réponse au commentaire  N°  -  18 -  de    -    Danielle   -  

    Je savais que le Larzac tenait une grande place dans ton coeur.

    Ces pays d'altitude, ( Larzac, Aubrac, Cézallier, mais aussi Népal) ont ceci de commun une certaine austérité, de paysages, de climat, de mode de vie, qui leur communique un charme étrange, indéfinissable, mais puissant. Les habitants ont de ce fait un caractère à part.

    Je pense qu'on ressent vis à vis de ces régions une attirance voisine de celle qu'exerce le Sahara (les déserts en général ?) sur tous ceux qui les ont approché.     J'ai été médecin quelques mois dans un oasis saharien (Tagit, durant mon service militaire)

    et bien à la fin de mon service, j'ai pensé un moment m'installer dans le Sahara (hummm... heureusement que je n'ai pas donné suite à ce projet !)

    Bisous du samedi soir de pinson jardinier, et vanné !

    19
    Samedi 9 Mai 2015 à 18:52

     

    - Réponse au commentaire  N°  -  17  -  de    -    ALN 03   -  

    alors tu plus qu'adore le Larzac !

    Je les ai découvert l'un et l'autre, le Larzac et l'Aubrac, il y a très peu d'années.

    C'est vrai qu'ils ont un caractère bien différent ( que je ne saurais pas bien définir)

    Ils ont aussi une histoire géologique bien différente, mais qui sont toutes deux étonnantes.

    Entre les deux, je ne saurais choisir.

    bye bye ! et demain, bon dimanche

    18
    Danielle
    Samedi 9 Mai 2015 à 17:24

    J'arrive enfin à lire les commentaires et tes réponses mais bon, je longeais mon étang bien-aimé... on ne peut pas être partout n'est-ce-pas ? Et je vois le comm de notre copinaute Aln et ta réponse concernant le Larzac, c'est vrai que si le climat y est un peu rude l'hiver (c'est peu dire), les rochers y sont magnifiques, un peu magiques, ils font s'envoler notre imagination ! Notre ami Ramon nous a parlé, raconté les Templiers, la Couvertoirade, ces lieux sont chargés d'histoire. Le magnifique plateau du Larzac destiné à l'extension d'un camp militaire a provoqué une vive opposition des habitants des lieux et les années 70 (j'avais 20 ans) ont été marquées par des manifestations, des luttes pacifiques, bon-enfant mais fermement décidées, déterminées,  agriculteurs menacés d'expropriation et sympathisants côte à côte, ensemble pour défendre l'agriculture traditionnelle et l'élevage du bétail, les fermes, les champs, la vie d'un grand nombre de petites communes vouées à disparaître... Quand on regarde ces paysages si typiques du Larzac on ne les oublie pas. L'Aubrac est très différent, rien à voir malgré un charme certain (par endroits). Le Larzac c'est un voyage dans le passé : Sainte Eulalie de Cernon, la Couvertoirade, la Cavalerie, les lavognes... superbes lieux chargés d'émotion ! Oh, je crois que je me suis éloignée du Népal mais quelque part l'émotion est la même il me semble... le Népal tu le rêves dans les pas de Dominique, le Larzac tu le connais "en vrai" et les rêves rejoignent la réalité !!! Bisous Méditerranéens pour le pinson du Gâtinais, bonne fin de journée, 24° aujourd'hui... c'est plus frais qu'hier smile Danielle 

    17
    Samedi 9 Mai 2015 à 17:02

    J'adore l'Aubrac .Mais il y a plus de cailloux dans le Larzac .

    Bonne soirée .

    16
    Samedi 9 Mai 2015 à 14:43

    - Réponse au commentaire  N°  -  14  -  de    -    ALN 03   -  

    Tu préfères le Larzac à l'Aubrac ? 

    Pistache est d'accord pour les deux également.

    Et moi je veux bien aussi, mais il faudra demander aux autochtones s'ils sont d'accord ...

    Demain nous allons terminer cette petite balade... reconstruite à la façon pinson.

    Ensuite on remonte le temps !

    15
    Samedi 9 Mai 2015 à 14:35

    - Réponse au commentaire  N°  -  13  -  de    -   Hélène   -  

    internet nous ouvre une fenêtre sur le monde , ne boudons pas notre plaisir !

    voyager (en vrai) est un moyen de découvrir le monde, mais il n'est pas le seul

    et il n'est pas forcément le meilleur

    nous avons maintenant des moyens de "voyager" même dans le temps : utilisons-les

    Demain... des visages... de plus près !

    14
    Samedi 9 Mai 2015 à 11:56

    Avec ton récit accompagnant les photos de Dominique , on s'y croirait dans ces montagnes , ces plateaux  du Mustang !

    Kas , pour avoir des pierres décorées , tu sais quoi ?  On pourrait aller peindre les pierres du Larzac .Ce serait plus simple pour nous et pour Pistache, tu ne crois pas ? "Allez , cap' ou pas cap' ? " comme disent les mômes . Bravo Doc -conteur !

    Bizatoi 

    13
    hélène
    Samedi 9 Mai 2015 à 11:55

    Ces paysages sont tellement  grandioses qu'on a peine à croire que des êtres y habitent, on les voit si petits sur les photos!  On suit Dominique avec curiosité pour apercevoir en visage Népalais de prés.....


    Je ne me lasse pas des voyages postés sur l'internet pour entrainer vers des horizons lointains ceux qui ne voyaent pas. Bel exemple de fraternité.


    Lerci à Dominique et au relayeur......


    Bonne journée


    L.N.

    12
    Samedi 9 Mai 2015 à 11:05

    - Réponse au commentaire  N°  -  10  -  de    -    eMmA Messana   -  

    Bonjour !

    mais sérieusement... il y a un problème...

    il y a notre vie "réelle" (j'ai fait tel voyage, je n'ai pas fait tel autre) et notre vie fantasmée : on ne peut nier la différence.

    Mais l'émotion que procure la science, ou même la science fiction, est une émotion REELLE.

    Quand des enfants (ou des adultes) écoutent un conte et sont pris dans le récit et emporté avec une princesse ou un dragon... c'est bien réel !

    enfin je veux dire que l'émotion qui s'empare de l'écoutant est réelle.

    La lecture d'un livre a aussi ce pouvoir.

    Ainsi nos vies sont plus larges que ce qu'en pourrait dire un compte rendu "objectif". Notre subjectivité aussi est réelle.

    Mais cela débouche... loin !

    Bon week end pour toi aussi.

     

    11
    Samedi 9 Mai 2015 à 10:49

    - Réponse au commentaire  N°  -  9  -  de    -    LMPT 73   -  

     

    Suis-je sot : j'aurais pu y penser.

    Ici, j'ai  (le siècle dernier !!!) protégé mes deux petits "jardins" par une clôture de grillage pour arrêter les lapins de garennes.

    Et maintenant (il n'y a plus de lapins) je laisse cette clôture pour tenter d'arrêter les sangliers.

    Les paysans du monde entier ont des solutions qui se ressemblent.

    Merci de nous avoir rapidement éclairé. Bon week end Dominique.

    10
    Samedi 9 Mai 2015 à 10:44
    eMmA MessanA

    Tu sais Kasi, avec toi et ton blog, on fait le tour de ton  du monde.

    Oui, j'aime assez l'idée que nous avons vécu aussi dans des ailleurs dont on se souvient, parfois...

    Merci le conteur qui complète bien le voyage qu'a réellement accompli Dominique.

    Bon week-end à toi,

    eMmA

    9
    Samedi 9 Mai 2015 à 10:37

    Tous ces murs, Kasimir, pour répondre à ta question, servent à protéger les cultures du vent et de la divagation des animaux domestiques (chevaux, vaches, chèvres) et sauvages (chacals particulièrement entendus la nuit sous la tente). IL parait qu'il y a également de espèces de marmottes, des léopards des neiges, des moutons bleus)... Aperçu de loin des lièvres.

     

    Dominique

     

    8
    Samedi 9 Mai 2015 à 10:29

    - Réponse au commentaire  N°  -  4  -  de    -    LMPT 73   -  

    Bonjour Dominique.

    Tu vas peut-être t'étonner, ou même t'inquiéter, mais j'ai de plus en plus l'impression de voyager réellement dans ces pays que j'explore au travers de certains reportages faits par de vrais voyageurs !

    La "présence réelle" (dans le passé) en un lieu est  devenue pour moi une énigme philosophique.

    Ainsi je suis né en Algérie, dans les Aurès, et je pense que les paysages devaient être assez proches  de ceux que tu nous as montrés.

    Mais je n'en ai aucun souvenir : j'étais trop petit. Alors y étais-je ou pas ? Je ne sais plus trop que dire.

    Tu vois, je n'arrête pas de me poser des questions idiotes !

    Pour Pistache, je suis rassuré.

    Pour le lien, je ne sais pas faire ! Heureusement que l'on peut cliquer sur ton commentaire.

    Bonne fin de semaine.

    7
    Samedi 9 Mai 2015 à 10:16

    - Réponse au commentaire  N°  -  3  -  de    -    Danielle   -  

    Bonjour Danielle.

    Certaines parties de l'Aubrac ont été formées par des processus géologiques assez voisins (surrection de l'ancien socle hercynien du fait de la formation des Alpes, et ici, il s'agit de la formation de la chaîne himalayenne,qui a remonté des terrains..)  mais ceci serait à revoir d'une façon plus précise.

    Quant à ce long mur, tu as raison, il fait penser à la grande muraille de Chine, mais à quoi sert-il ? Dominique le sait peut-être.

    Les cultures en ces lieux ne doivent pas avoir des rendements fabuleux. Ils permettent à ce petit peuple d'agriculteurs de vivre, guère plus sans doute.

    Bon week end, j'espère quand même pas vraiment froid !

    Mais ici j'ai remis en route la pompe à chaleur !

    Bisous du samedi pour toi aussi.

    6
    Samedi 9 Mai 2015 à 10:00

    - Réponse au commentaire  N°  - 2  -  de    -    Gazou   -  

    Bonjour Gazou.

    Le lien que j'ai essayé de faire ne marche pas.

    Passe plutôt en cliquant sur son commentaire.

    Belle fin de semaine pour toi aussi.

     

    5
    Samedi 9 Mai 2015 à 09:56

    - Réponse au commentaire  N°  -  1  -  de    -    Lylytop  -  

    Bonjour Lyly

    Bonne journée

    4
    Samedi 9 Mai 2015 à 09:14

    on a vraiment l'impression que tu es passé par là Kasimir.
    rassure toi ta Pistache n'aurait pas pu arriver jusque là . Elle aurait fondu avant, car la seule route existante est en pointillés...
    Ton lien en bas ne fonctionne pas et conduit chez moi à ma boite de messagerie d'association. Bizarre???

     

    dominique

    3
    Danielle
    Samedi 9 Mai 2015 à 09:07

    Comme les paysages changent aujourd'hui ! L'Aubrac au Népal, c'est vrai, tu as raison pinson ! Et ce long mur qui sert de limite aux cultures donne un petit air de muraille de Chine (ça je ne connais pas). Quelle organisation pour amener l'eau si rare vers ces lieux cultivés. Là par contre, ça m'évoque un jardin du Gâtinais où l'eau circule dans des canaux entre les digues édifiées par un pinson obstiné (fermons la parenthèse mais je ne peux m'empêcher de sourire). Quand on voit les plantations dans de tels endroits, on se dit que ces pauvres sont bien courageux et volontaires, la vie ne doit pas être facile. Cet éboulement en se dirigeant vers le village peut aisément nous laisser imaginer ce qu'à du être ce terrible séisme et ses conséquences. Mais on attend la suite demain... Bisous du samedi pinson, douce journée dans ton île, dans la mienne on dirait que la température chute un peu, tant mieux !!! Danielle

    2
    Samedi 9 Mai 2015 à 08:43

    je vais aller voir le blog de Dominique

    Bon week-end,Khas!

    1
    Samedi 9 Mai 2015 à 07:49

    belles photo et texte super

    a bientôt

    lyly

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