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    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

     

     

    Toutes mes excuses ! 

     

    L'apparition de ces photographies sur mon blog résulte d'une erreur de manipulation.

    Je les découvre comme vous ce matin avec étonnement !

    Je les destinais à une prochaine publication

    mais j'avais l'intention d'y joindre d'autres photos et un texte. 

    Ce que je ferai dans quelques jours seulement.

    Alors     ... 

     

    bonne semaine

    et à bientôt !

     

     

    ***

     

     

     


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    Trois "pensées" pour commencer. 

    Les deux premières viennent de Stéphanie ("mon" éditrice !)

     

    1

    Tomorrow is a mystery

    Today is a gift

    That's why it's called the present

     

    ce qui se traduit ainsi : 

     

    Demain est un mystère

    Aujourd'hui est un don

    c'est pourquoi on l'appelle le présent.

     

    Il y a là un jeu de mot, car présent signifie à la fois l'actuel 

    et justement ce qui est donné : 

    ce qui nous est donné de vivre aujourd'hui.

     

    Ce qui nous est donné de vivre aujourd'hui est peut-être très dur à porter

     

    et pourtant... nous vivons !

    Songeons-y. 

     

    2

     

    Les chemins difficiles mènent souvent

    à de merveilleux lendemains. 

     

    Si nous traversons d'énormes difficultés,

    gardons foi en la vie ...

     

     

    et voici la 3 me pensée

    que Danielle m'a écrite dans un commentaire samedi 1/7 : 

     

    " Une fleur ne sèche jamais sans laisser sur le sol

    un bouquet de semences "

     

     

    Voici à nouveau un immense mystère. 

    Ce mystère je le contemple avec une sorte de crainte, un grand étonnement, comme je pourrais contempler la mer immense en songeant à ses mystérieuses profondeurs, à cette vie cachée  qui nous échappe à 99,99%, alors que nous nous croyons les maîtres du monde !

    J'éprouve le même vertige lorsque je songe à mes parents, aux humbles et très difficiles débuts dans la vie qui fut la leur. A leurs efforts incessants, à leurs peines, à leurs désespoirs parfois, à leurs souffrances, et au peu de gratitude que je leur ai témoigné...

    Insondable mystère.

    Un jour je vous parlerai peut-être de petits poulpes que l'on a , il y a peu, découverts, vivant dans le Pacifique à 4.800 mètres de profondeur.

    Et d'un moment de leur vie...

     

     

    Mais aujourd'hui dimanche je ne veux vous laisser ni dans le fond des abysses océaniques,

    ni dans celui non moins profond  de nos âmes inquiètes !

    Alors je vais vous montrer des fleurs de mon jardin, petits sourires que la nature nous adresse pour que demeure en nous la joie d'être vivant.

     

    Voici d'abord quelques ancolies, jaunes celles-ci.

    Comme sont curieuses ses fleurs qui semblent munies d'éperons. 

    Est-ce pour mieux faire galoper les coursiers du temps ?

     

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

     

      Certaines ont mis un peu de rose dans leur palette.

    Est-ce pour cela qu'une guêpe vient les visiter ? 

     

     

    - Pas de mélancolie... si tu mets l'ancolie au jardin -

     

    J'avais semé de nombreuses graines

    seuls quelques pieds ont levé.

     

     

    Je vous présente maintenant les nouveaux arrivants dans le chantier de la rocaille.

     

      

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

     Pour commencer sa majesté le  Kniphofia.

    Wikipedia, l'irremplaçable, nous apprend le pourquoi de ce nom : c'est en l'honneur d'un botaniste et médecin allemand qui vécu de 1704 à 1763 :  

    Johann Hieronymus Kniphof 

     

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

    Cette belle liliacée africaine est aussi appelée 

    tritoma

    ou tison du Diable.

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

     

    Je vous en reparlerai.

     

    Voici  une autre majesté : l'èchinacée.

    Nom qui vient du grec "echino" (= épine)

    car le disque central de la fleur est épineux.

     

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

     

     

    Elle nous vient d'Amérique,

    et on vient de découvrir ... ou plutôt de redécouvrir

     son grand pouvoir pour stimuler notre système  immunitaire !

    Je ne doute pas de la réalité de ce pouvoir :

     les amérindiens le connaissaient  depuis quelques milliers d'années !

     

    Les "chercheurs" du lobby médico-pharmaceutique me font sourire

    car l'échinacée n'est pas la seule plante dotée de cette capacité.

    J'en ai une dizaine d'autres dans mon jardin qui ont ce pouvoir ! 

    Des hommes l'avaient découvert bien avant que nos facultés ne soient inventées.

      

     Voici encore une autre fleur bien sympathique

    que j'ai placée provisoirement près de l'échinacée,

    c'est une Monarde.

     

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -  

     

     

    Plante aromatique, aux feuilles délicatement parfumées,

    elle a elle aussi un intérêt médical éminent.

     

     

    Dans le pot à côté d'elle, à gauche, c'est un pied débutant de 

    Petite Pervenche. 

    Je vous reparlerai de cette amie de notre cerveau, quand elle sera bien développée et fleurie.

     

     

    Voici maintenant

    la Grande Lysimaque

    ou lysimaque vulgaire, ou commune : 

    plante érigée  très florifère qui aime les prés humides, le long des rivières.

    J'ai trouvé celle-ci dans un fossé, et elle reprend tout juste vigueur.

    Je ne lui connais pas d'usage médical, par contre sa petite cousine,  rampante celle-là, qui a envahi tous les abords de mon étang, la lysimaque nummulaire, qui a des petites feuilles rondes (d'où son nom "nummulaire") est astringente = apte à soigner des plaies ( d'où son qualificatif de "vulnéraire"). Le nom de lysimaque semble venir de LYSIS qui signifie dissoudre, ce qui laisse supposer que cette plante (la nummulaire) pourrait aider à nettoyer une plaie, à "lyser" les tissus abimés.  En est-il de même de la grande lysimaque, je ne sais.

    Je ne la plante pas pour cet usage éventuel, d'ailleurs, mais pour sa beauté.  

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

     

    Toutes les lysimaques adorent l'eau, les zones humides.  

    Si le terrain où elles poussent est de temps en temps inondé, c'est pour elles une bénédiction.

    Et bien près de la grande lysimaque, j'ai planté

    3 pieds d' Alisma  plantain d'eau.

     

               - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -  image Wikipedia

     

    Ce sont carrément des plantes aquatiques mais qui supportent très bien de vivre hors de l'eau, pourvu que la terre reste très humide.

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

    Vous devriez pouvoir l'apercevoir ici :  entouré de 2 pieds d'

    Achillée millefeuille

    (avec leurs fleurs blanches, mais un peu floues)

    On reconnait bien l'alisma à ses feuilles lancéolées

    (qui lui ont valu le nom de plantain d'eau).

    Ce qui me séduit dans cette plante est la finesse extraordinaire de sa hampe florale.

    Elle est ramifiée et porte de minuscules fleurs blanches.

     

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

    J'espère pouvoir vous les monter mieux un jour.

     

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

    Non loin d'un alisma, voici un   lilas d'Espagne ( centranthe rouge )

    et sa première petite fleur.

    Mais ce "lilas"

    (qui n'est pas plus un lilas que l'alisma un plantain !)

    aime le sec !

    Il faudra que je le sépare bientôt de l'alisma.

     

     

    - Un peu de mélancolie ? ...  mets l'ancolie au jardin -

     

     

     

    Bon, tout cela est dix fois trop serré, car toutes ces plantes vont grandir !

    Entre l'alisma et le "lilas" vous apercevez  le pluviomètre et les feuilles de l'agapanthe.

     

     

    Je vous quitte à regret

    comme je quitte toujours à regret mon jardin. 

    Enfin     ...    il n'est désormais plus très loin de moi :

    la rocaille est juste devant les portes fenêtres de ma maison ! 

     

     

    ***

     

     

     


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     Le bonheur est dans le pré

    cours-y vite      cours-y vite

     Le bonheur est dans le pré

    cours-y vite     

    ... 

    il a filé

     

    Il n'en est pas de même au jardin

    le bonheur s'y installe, y demeure,

    nous y attend chaque jour,

    palpitant de vie,

    paré de subtiles couleurs,

    dans un silence parfumé, apaisant.

     

    Des surprises nous y attendent chaque jour.

    Plusieurs de mes semis ont échoué. Ainsi celui de Belles de jour, semences (reçues par la poste) d'une plante qui ne m'est qu'obscurément connue.  Or voici que j'en découvre 2 pieds qui s'ouvrent un espace parmi les autres plantes de la rocaille.

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin -

     

     

    J'attends avec curiosité la floraison,

    qui sera pour moi comme la naissance d'une nouvelle étoile dans le ciel !

     

    Ce que j'appelle la rocaille est en fait un espace toujours en chantier de création. Il faut que j'y apporte encore beaucoup de terre, de compost, et le peuple d'une façon un peu moins anarchique. Je viens d'y installer un mini massif circulaire, en forme de volcan miniature, lui aussi provisoire, dont voici l'aspect actuel, bien timide, mais qui nourrit mes rêves !

     

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin -

     

     

    Si vous cherchez bien un peu au-dessus et à gauche du centre de l'image, vous allez trouver une minuscule tache rouge. Elle éveille tout mon espoir car elle marque la réussite d'une de mes tentatives d'acclimater ici le lilas d'Espagne, une plante que je désire accueillir et développer : la valériane rouge ! Non seulement elle est belle, mais elle est intéressante d'un point de vue médical et alimentaire, ce qui est pratiquement ignoré. Si je parviens dans les années qui viennent à la multiplier, j'aurai l'occasion de vous en reparler.

     

    D'autres petites merveilles se sont regroupées dans le sommet de cette petite montagne, dans sa " caldeira " (!) mais je ne vous parlerai  que de l'une d'entre elle, que j'ai acquise dimanche dernier, qui dresse une tige florale unique et inclinée, avec à son sommet  cette petite oeuvre d'art :

     

    C'est une agapanthe !

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin -

     

     

    Oh que j'aime cette fleur !

    Elle me transporte sur l'île de Madère, ce massif volcanique qui jaillit de l'océan Atlantique, massif volcanique actuellement effondré, qui se présente un peu comme celui de l'île de la Réunion, avec des cirques sauvages dans sa caldeira, et où prospèrent justement  de somptueuses agapanthes.

     

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin -

     

     

     

    Sur l'image de cette petite île de Madère apparue dans la rocaille, vous pouvez  apercevoir une fleur que j'aime beaucoup aussi : c'est celle d'une plante sauvage banale, plante des fossés humides, que j'ai donc réussi à convaincre de prendre place chez moi :

     

    une  Salicaire :

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin - 

     

     

     

    D'elle je pourrais vous parler  bien longtemps.

    Pas d'usage alimentaire (bien trop ligneuse) mais usage médical certain.

    Comment ces trésors de santé peuvent-ils être ignorés ?

    Oubliés pour la plupart, à découvrir pour d'autres. 

    Comme elle est orgueilleuse la médecine moderne, toute éblouie par les succès ponctuels de ses merveilleuses techniques. Mais quelle indigence dans la prévention des maladies, c'est-à-dire dans la préservation réelle de la santé. Il est vrai que soigner des maladies, graves si possible, rapporte beaucoup plus d'euros que des gens en bonne santé qui n'ont besoin ni de soins ni de se rendre dans les pharmacies. 

    Mais il ne faut pas que je dérive !

     

    Tiens : le pied de Rue se porte bien, et fleurit.

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin -

     

     

     

    Ce midi, pour marquer le dimanche, je vais en mettre une branchette dans la tasse de café, et découvrir ainsi sa saveur.

     

    Un dernière fleur pour cette fois.

     

     

    - Le bonheur est dans le jardin -

     

     

    Le pied de Phlox que j'avais mis en place l'an passé

    est reparti cette année avec une vigueur nouvelle. 

    Il enchante mon regard, et mes narines par ses effluves si étranges.

    Cette fleur est pour moi une madeleine de Proust :

    elle me transporte  dans le temps et me replace dans le jardin de ma grand-mère !

    si bien que me revient le souvenir d'un texte que j'avais écrit pour la fête d'une AMAPP , c'était le  28 juin 2008 , dans un village voisin, texte que j'avais lu en public (et je n'en menais pas large !).

    Je ne fais plus partie de cette AMAPP, mais il me reste ce texte !

     

     

     

     

    

Et oui, je m'étais inscrit à une AMAPP  pour y acheter nos légumes, et pour voir comment marchait cette sympathique initiative. C'est justement en me rendant à cette fête où l'on m'avait demandé de lire mon poème que j'ai rencontré le chevreuil qui fut fatal à mon ancienne et aimée voiture. En moins de deux secondes c'était réglé !

Depuis je me suis retiré de cette AMAPP car on m'y vendait les mêmes légumes que ceux qui peuplaient mon jardin. Nous avons beau aimer les légumes, il y en avait trop ! Mais le jour où je ne voudrai plus jardiner, j'y retournerai. 

     

     

     

    Les jardins de mon  enfance 

     

     

     

     

                          Je me souviens de vous, jardins de mon enfance ! 

    Pour vous j'éprouve encore une grande attirance. 

    J'aimerais vous revoir, respirer vos parfums, 

    Parcourir à nouveau vos tout petits chemins. 

    Vous étiez comme des îles, toujours à explorer, 

    Comme des labyrinthes, devenus familiers. 

     

     

    Le tout premier jardin fut celui de grand-mère. 

    Il jouxtait sa maison toute vêtue de lierre. 

    Son mari, le Clovis, charron et paysan, 

    Etait mort à la guerre. Pour elle restaient les champs. 

    Le plus proche fournissant légumes en suffisance, 

    Le jardin du logis était pour sa plaisance. 

    Il était le repaire des fleurs les plus étranges,

    Sans doute, du Paradis, apportées par des anges :

    En chacune s'ouvrait une porte vers le rêve,

    Comme si un grand mystère circulait dans leur sève. 

     

     

    Les mufliers joufflus étaient des gueules de loup, 

    Les hauts volubilis, qui s'accrochaient partout, 

    Ouvraient leurs grands yeux bleus en des lieux insolites, 

    D'un bleu profond étaient les fleurs de l'aconit, 

    Redoutable poison déjà connu d'Ovide. 

    Confirmant la présence de dangers homicides 

    Les adonis rouges se nommaient « gouttes de sang » : 

    Elles semblaient me donner un avertissement. 

     

     

    D'opulentes pivoines rendaient jalouses les roses. 

    Des anémones blanches semblaient prendre la pose 

    Sur l'autel de l'été. Les lys immaculés, 

    Qu'encerclait une troupe d'odorantes giroflées, 

    Me maculaient le nez de leur pollen jaune.

     Les vélars tortelles soignaient les gens aphones,

     Les saxifrages roses désespéraient les peintres :

    Leurs fleurs étaient trop fines, trop subtiles leurs teintes.

    Les phlox répandaient leur étrange parfum,

    Les abeilles visitaient les petites fleurs du thym,

    Sans dédaigner toutefois celles de la ciboulette,

    Mais pas celles des œillets que l'on disait poètes.

     

     

    Moi, je les observais toutes, dans leur diversité,

      Étonné

       Ébloui

          Et ravi.

     

     

     

    Le second des jardins fut celui de mon père. 

    De grands arbres entouraient une immense clairière 

    Qu'il consacra toute aux cultures légumières. 

    En faire seulement la liste ferait un dictionnaire ! 

    J'y fis la connaissance des plantes potagères 

    Mais la plus importante fut celle de la terre,

    Cette substance brune, changeante, mais familière : 

    Dans le sec ou le froid, dure comme une pierre, 

    Toute collante d'argile quand coulaient les gouttières,

     S'effritant sous la main comme une sablière 

    Dès que, sous le soleil, l'eau, reprise par l'air, 

    En libérait les grains, révélant le calcaire.

     

     

    Une très ancienne mer nous avait fait ce don, 

    Déposant dans son lit d'énormes alluvions : 

    Sable, argile, mica, oxydes métalliques, 

    D'immenses quantités de matières organiques, 

    Pour former cette substance que nous appelons la « terre », 

    Bien à tort méprisée, car elle est notre mère. 

    Une secrète vie fermente à l'intérieur, 

    La tuer par la chimie serait un grand malheur !

     Nous devrions l'aimer, la choyer, la nourrir,

    Ne pas la piétiner, mais plutôt la bénir,

    Et remercier le ciel de nous l'avoir donnée,

    En protéger les fruits, et nous les partager. 

     

     

     

    - Petites nouvelles du jardin -

     

     

     

     

    Bon dimanche mes amis

    et bonne semaine.

     

     

     

    ***

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

      


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    Bonjour tout le monde !

     

     

    Juste avant cet épisode de forte chaleur

    de nombreuses averses (ici ) avait fait remonter le niveau de la mare résiduelle dans mon étang, et provoqué une explosion végétale dans la zone exondée  

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

    Ce  pré d'herbes très dru, de plusieurs tons de vert,  je me suis empressé de le couper pour qu'une nouvelle jungle ne réapparaisse pas..

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

     

    Mais une partie du sol reconquis par l'eau avait eu le temps de craqueler sous l'effet de la dessiccation, en dessinant des formes polygonales qui font à chaque fois que je les observe l'objet de mon admiration.

    La soudaine remontée de l'eau n'a pas permis à ces formes polygonales  de disparaitre, si bien qu'elles demeurent sous la fine couche d'eau.

     

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

    Des plantains d'eau sont apparus, venus de je ne sais où.

     

    Si la sécheresse n'est pas trop violente,

    on peut espérer la formation de leurs magnifiques et si légères hampes florales.

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

     

    La mare zen est toujours très appréciée par les colverts.

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

     

    Le trio de madame avec ses deux amoureux est très fidèle !

     

     

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

     

    Quant au pied de phlox planté l'an dernier

    il a fait son retour dans la rocaille.

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

     

    D'autres fleurs mystérieuses se sont ouvertes

    parfois blanches

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

    parfois roses

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

    Voici le nom latin de la plante :

    Solanum Tuberosum

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

    Pour vous aider un peu plus, elle nous vient de la Cordillère des Andes.

    Vous connaissez ? 

     

     

    - Un peu de fraicheur pour ce dimanche -

     

     

     

    On la nomme aussi Truffe de Terre.

     

     

     

     

    Bon dimanche chers amis.

     

     

     

    ***

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    Sourire du jour : pavots et bourrache

     

    Tiens  je vais faire concurrence à Dominique 73 !

    2 photos seulement.

    Je ne me lasse pas d'aller voir ces modestes fleurs de ma jeune rocaille.

    Mariage des couleurs et des formes.

     

     

     -  Sourire du jour : pavots et bourrache --

     

     

     

    Harmonie

     

     

     -  Sourire du jour : pavots et bourrache --

     

     

    Beauté

    Paix

    Joie

     

    Bonne journée.

     

     

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