Pour vous, en ce dimanche,

voici un oiseau du paradis.

 

 

 

 

 

 

et un petit rab : 

le tableau destiné à Charlène, je m'en suis fait une copie.

Bien sûr il est un peu différent.

 

Ces deux tableaux sont avec mes nouveaux cadres !

 

 

 

 

 

 

 

Bisous.

Bon dimanche à tous.

 

 

 

 

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Frédéric m'a envoyé la photo d'un tableau qu'il vient de faire, en me disant la raison pour laquelle il l'a fait : parce qu'il fait très chaud au Mexique, y compris la nuit, autrement dit c'est  (là où il se trouve, à Ensenada) une canicule permanente qui dure la moitié de l'année, et ne prendra fin qu'au mois d'octobre, parfois seulement à la fin du mois d'octobre. Alors il aspire à la fraicheur qu'il imagine en France en se souvenant des hivers où ici l'étang gelait, avec une couche si épaisse de glace qu'on pouvait se promener sur cet étang sans le moindre risque.

 

Des photos l'ont aidé à se remémorer cette époque.

Et voici la première ébauche qu'il a faite.

 

 

 

 

à partir de cette photo je pense, où le terrain est sous la neige

et l'étang pris entièrement par la glace :

 

 

 

 

 

D'autres photos ont dû l'aider.

Comme celle-ci, où l'on aperçoit les ombres portées par les arbres de la rive sud de l'étang, mais aussi la présence sur la glace de 4 personnes, peut-être ma femme et moi, et deux enfants.   

 

 

 

 

 

Comme il m'explique ainsi l'évolution de son travail, et que cela m'a beaucoup intéressé, je vous en montre la progression. 

Espérant que cela vous intéressera aussi.

 

Une vue de son "atelier" ?

 

 

 

 

Il a l'air bien petit cet atelier !

 

Voici donc Frédéric à l'oeuvre.

 

 

 

 

Le terrain enneigé occupe encore tout l'espace,

mais voici les arbres qui apparaissent : 

 

 

 

et qui retrouvent leurs branches :

 

 

 

 

mais là Fred a imaginé introduire une partie dégelée dans l'étang :

 

 

 

 

et la présence, imaginée, de trois enfants : 

Luz (sa femme), Charlène et Caroline, toutes trois ayant retrouvé la petite enfance !       

 

 

 

 

Cette fois on entre en plein dans le rêve !

Ce qui n'empêche pas de faire vivre la lumière dorée et palpitante dans les branchages ressuscités :

 

 

 

 

Le rêve se confirme. (il est n'est-ce pas le but essentiel)  avec l'apparition dans de ciel de trois colombes !

 

 

 

 

 

Oui, oui, des colombes !

 

 

 

 

Il faut maintenant choisir à ce tableau un cadre :

 

 

 

 

 

 

Oui, celui-là semble convenir :

 

 

 

 

Il ne reste plus à Luz et Fred, qu'à se relaxer devant ce tableau

en imaginant la fraicheur...

Souhaitons-leur que ça marche !

 

 

 

Fred remarque aussi combien la présentation d'un tableau dans un cadre le transforme, le magnifie. Comme le vêtement pour une femme, un écrin pour un bijou. J'ajouterai un beau paquet pour un cadeau (ce que je ne sais pas faire !) ou une belle table pour un repas.

Je pense qu'il a raison, et que la tendance actuelle à ne plus mettre de cadre (?) désacralise les tableaux, pour en faire un objet de consommation courante comme tous les autres objets, une assiette, un chausse-pied, une table...

 

Un tableau n'est pas un objet ordinaire, mais une oeuvre d'art, et a par ce fait un caractère ... j'ose dire sacré (à part).

Je ne parle pas de mes petits tableaux qui ne sont que des tentatives maladroites, et un peu ...élémentaires, de peindre. 

Pourtant je souhaite leur offrir un cadre, qui sera bien plus modeste (je vous les montrerai). Ce ne sera pas un beau cadre doré, qui là, par contre, va bien avec le tableau de Frédéric.

 

 

 

 

***

 

 

 

 

C'est peu dire que je jardine moins.

Je "range" (un peu).

Et parfois je trouve.

 

Mais la première trouvaille a été faite par un visiteur qui, s'étant promené dans le jardin, y compris dans celui dont j'ai abandonné la culture, m'a dit : tu as une belle rose trémière. 

 

Oh non, ai-je répondu, je n'ai aucune rose trémière.

 

Mais j'en ai vu une, et bien belle en plus.

 

Alors je suis tout de même allé voir au lieu indiqué

et bien oui !!!

 

 

 

D'où vient-elle ? Je ne sais.

Une graine apportée par des oiseaux ?

 

En tout cas elle a dominé toute seule les plantes spontanées qui ont envahi la parcelle abandonnée.

Elle est bien sympa !

 

 

 

La seconde trouvaille est un tableau que j'avais oublié.

 

 

 

 

Le retournant, j'ai vu que je l'ai fait le 7 mai 1997

et appelé " la polla de agua ".

 

Et que ce jour là étaient présents

Luz, Fred, Phil, Gen, Flor, Noël, Lu, Charlène, et moi.

Et aussi Napoléon, Bécassine, Nina Ricci, Kiri Tékanawa, Belkioukiouni,

(c'est à dire un coq et des poules) 

et encore 6 canards, 2 petits poulets (pas encore baptisés)

et la pluie

et que je destinais ce tableau pour Charlène !

En précisant. "quand elle se mariera".

Promesse à tenir .....

 

 

Facile : je l'avais déjà encadré.

 

 

 

 

Le coeur des 5 fleurs et la poule d'eau

sont des morceaux de miroirs que j'ai collés.

 

 

 

Voilà, c'est tout.

 

Mais j'ajouterai

la seule rose en ce moment ouverte dans mon jardin

pour vous adresser mon amitié.

 

 

 

 

 

Bonne semaine pour vous.

 

 

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Bonjour vous tous.

 

Pas grand chose de nouveau au jardin.

Est-ce moi qui m'endors ?

 

Les cornichons se multiplient.

 

 

 

 

 

J'hésite encore. 

Sel  (pour une lactofermentation)

ou vinaigre ? 

 

Les fleurs de poireau ont perdu leurs petits chapeaux

et se colorent de rose mauve.

 

 

 

 

 

Je vais les laisser murir

et j'essaierai de compter les graines formées par le plus grand pied.

Plusieurs centaines certainement.

Il y en aura pour vous.

 

Pour l'instant il y a des bisous.

 

 

 

***

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   Bonjour mes amies et amis.

 

 

 

Non non, nous ne sommes pas à Istanbul.

Mais alors c'est quoi ?

 

Je vous laisse chercher un peu.

 

 

Ah cette fois la chaleur est venue, après ce mois de mai digne d'un mois de novembre.

Alors les plantes ont commencé véritablement leur croissance. Et par exemple les courgettes ont commencé à couvrir le terrain de leur grandes feuilles si joliment découpées, comme munies de doigts.

 

 

 

 

 

 

Les fleurs se multiplient

 

 

 

 

et les premières courgettes aussi, m'assurant maintenant chaque jour des plats délicieux.

 

 

 

 

Mais il faut les récolter chaque jour pour que ne se forment pas d'énormes fruits !

 

 

 

Un rosier, qui était là depuis quelques années, se trouve inclus sur une des six planches de culture, et enfin des roses se sont épanouies.

 

 

 

 

Elles sont à bonne hauteur pour que je profite de leur parfum étrange, à la fois si doux et si puissant, qui vient se glisser dans les lieux secrets de nos cerveaux. Et qui sait, y faire descendre la paix, la joie...

 

 

 

 

 

Un dialogue silencieux s'établit entre elles et moi

 

 

 

 

qui jamais ne me lasse

car leur perfection demeure !

 

 

Bon dimanche pour vous toutes et tous.

 

 

Ah, j'ai pris une photo le lendemain de la première.

 

 

 

 

 

Elle va peut-être vous faire trouver quelle est cette plante étrange.

 

Bisous de pinson.

 

 

 

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