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A votre avis, c'est quoi ?
Et non, ce ne sont pas de petits slips !
Cette photo m'a été envoyée par mon fils Frédéric qui vit au Mexique, à Ensenada, dans le Nord Est du Mexique (Basse Californie) où le climat est un peu sec ...
Et cela me donne une impression étrange.
De proximité, à cause de nos communes préoccupations
bien que ce soit, matériellement, si éloigné.
Cette photo est prise dans la région d'Ensenada, sur les premières pentes d'une zone montagneuse
(dont on devine le caractère semi désertique)
Voilà.
Et j'avais envie de vous faire, à tous, un bisou.
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Regardez ce mot : MÉTÉO
Il faudrait passer à LITRE
en quatre fois
en ne changeant qu'une lettre chaque fois :
M é T é O
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L I T R E
simple petit exercice
à vous de jouer
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je ne publierai les commentaires que dans quelques jours,
le temps de laisser à vous tous le temps de chercher !
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12 commentaires -
je sais que vous n'aimez pas beaucoup les chiffres
mais cette question est facile
(je viens de la recevoir , envoyée par JL et ND)
la voici :
une mère de famille a huit enfants
et cinq pommes
en voici trois
et encore deux
ça fait cinq
elle veut les partager également avec ses huit enfants
comment procède-t-elle ?
allez, faites travailler vos méninges !
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Ne voyons-nous que ce que nous voulons voir ?
Je croyais peut-être que plus jamais ne reviendraient les fleurs, les fleurs du printemps puis de l'été, les fleurs de la vie, des fleurs pleines de joie. Je voyais des fleurs sur vos blogs. Mais chez moi ... nenni.
Puis le soleil ayant pris de la force, je me suis hasardé dehors, et quel n'a pas été mon étonnement de trouver, dans mon jardin dévasté, des fleurs assez nombreuses, toutes des fleurs jaunes, comme si le soleil avait semé, de ci de là, ses rayons !
Bon, ce sont surtout des "sauvages", des "adventices". Ou des plantes que j'avais oubliées. Comme ces Mahonias, de simples boutures que j'avais mises en place voici deux ans (des tiges d'une vingtaine de cm que j'avais enfoncées dans le sol, une trentaine) au même endroit où j'avais alors planté les tubercules de dahlias.
Et bien une bonne douzaine ont survécu
et ce matin... joie de les découvrir,
chargées par des bouquets de petites fleurs.
Je crois savoir qu'elles ne sentent rien (hé non, ce ne sont pas celles, divines, des mimosas) et elles sont bien trop basses pour que j'y descende mon nez, mais qu'elles sont douces à mes yeux, promesse d'une récolte à la fin de l'été de petites baies pointues !
Ces mahonias sont étroitement entourés d'un tapis de Ficaires,
avec leurs fleurs composées de huit pétales brillantes (parfois neuf).
Plus loin dans le terrain des jonquilles ont ouvert leurs trompettes.
Certaines avec un centre orangé vif,
d'autres d'un jaune plus clair.
d'autres encore ont des pétales plus nombreuses, un peu chiffonnées et qui deviennent blanches. Ce sont des ... "variants" !
Car les virus ne sont pas les seuls à muter, tous les êtres vivants mutent, changent, modifient leur façon d'être.
Et nous aussi.
Vivre, c'est changer.
Et puis il ne faut pas oublier les pissenlits.
Certes ceux là sont un peu durs pour faire de la salade, mais avec une ou deux pommes de terre, ils feront une soupe (mixée) délicieuse !
Terminons cette petite promenade avec cette touffe de Primevères,
un peu sur le déclin.
Bon printemps pour vous tous et toutes.
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C'est quoi, vivre ?
Ouvrir les yeux sur le monde, le découvrir,
et, dans l'étonnement d'un rire clair,
l'admirer, s'en réjouir infiniment,
ouvrir son coeur aux autres,
les aimer, être aimé,
marcher dans le grand courant des êtres,
inondé par la joie du partage, de la communication,
porté comme un fin duvet
dans le nuage doux, léger et lumineux du bonheur,
uni à ce bonheur,
perdu en lui,
non pas distinct de lui, comme une partie dans un tout,
mais étant lui dans sa totalité ?
Alors bravo !
un tableau de Fred
Mais c'est aussi, parfois,
échouer en cette tentative,
dépérir devant un inébranlable mur d'indifférence,
jusqu'à en mourir de faim, de soif,
de désespoir,
dans l'antichambre de la mort qu'est le non-amour
ou la privation d'amour.
Le temps s'est avancé pour moi,
il n'est plus celui de l'action, mais celui du bilan :
quel est le bilan de ma vie ?
Il n'est pas UN
mais se présente à moi comme Janus,
deux visions s'opposant l'une à l'autre,
comme la nuit semble vouloir chasser le jour de la totalité du ciel,
comme semble repoussée par le froid mortifère des jours gris
la douce chaleur du printemps qui tente de revenir,
toute chargée de chants d'oiseaux.
Et quand enfin je découvre que ce mur de glace,
sans cesse renaissant,
inébranlable et sans pitié,
n'est pas l'oeuvre des autres
comme j'ai pu le croire,
mais qu'il monte du plus profond de mon "MOI",
comme un monstre d'avidité,
alors je m'interroge sur la justification de mon existence,
de son utilité ou de sa nuisance.
Dans ce flux et ce reflux
je tente de diriger mon fragile esquif,
me reposant sans cesse cette question :
c'est quoi, vivre ?
Le savez-vous ?
Alors dites-moi le.
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